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Levroux le nouveau maire refuse l’installation d’éoliennes

Le nouveau maire de Levroux, Alexis Rousseau-Jouhennet et le conseil municipal ont délibéré sur les projets éoliens de la commune :
Levroux est également concernée par deux projets éoliens, qui projettent de construire au total douze éoliennes, à cheval sur des communes voisines. Et le maire est contre : “On a 3000 habitants, et là on peut fournir 2500 foyers. Donc j’estime qu’avec cette ferme solaire on a déjà fait notre part“, estime Alexis Rousseau-Jouhennet. “Il y a une telle agressivité de la part de toutes ces boites qui font, notamment, des projets éoliens, nous les maires sommes sans cesse sollicités. Je pense qu’on n’a pas besoin de douze éoliennes à Levroux“.
Le maire de Levroux le sait, ce n’est pas lui qui a le dernier mot pour dire si oui ou non, il faut construire des éoliennes sur sa commune. Mais il pense que “les énergies renouvelables c’est très bien, pour autant, on doit prendre soin de nos paysages, j’estime que l’Indre a fait sa part sur le renouvelable”. Le futur parc photovoltaïque pourrait être un argument de poids pour dire au préfet, le dernier à trancher dans ce type de projet, que Levroux a “déjà donné”.

Délibération 2020-39 du 15 octobre 2020: Abrogation de délibérations relatives aux éoliennes

En date du 23 septembre 2002, le conseil municipal de Levroux a donné son accord de principe pour l’implantation de fermes éoliennes à Levroux.
En date du 11 avril 2003, le conseil municipal de Saint-Pierre-de-Lamps a donné son accord pour l’installation d’une centrale éolienne sur sa commune.
En date du 16 décembre 2004, le conseil municipal de Saint-Martin-de-Lamps a donné un avis favorable à l’implantation d’une centrale éolienne sur la commune.
En date du 6 avril 2011, le conseil municipal de Levroux a émis un avis favorable à la délivrance des permis de construire concernant six éoliennes et six sous-stations de transformation électrique.
En date du 19 août 2019, le conseil municipal de Levroux a donné pouvoir à Monsieur le Maire pour signer la convention de servitude et autres documents permettant la bonne réalisation du projet éolien, de sa construction à son démantèlement ainsi que l’accord de participation financière à la sauvegarde des chauves-souris conclus avec la ferme éolienne

Le Maire rappelle qu’à ce jour deux projets sont en cours, un à Saint-Pierre-de-Lamps et un à Saint- Martin-de-Lamps pour un total de 12 éoliennes. L’abrogation de ces délibérations a pour but de préserver le paysage de notre commune. De plus, l’implantation d’un champ photovoltaïque sur le territoire de la commune permet l’alimentation de 2 500 foyers, ce qui représente l’alimentation en énergie renouvelable de quasiment tous les foyers de la Communauté de communes.

Nicolas Cousin indique qu’il aurait aimé prendre plus de temps pour pouvoir étudier la situation avant de prendre cette délibération.
Nicolas Cousin lui rappelle que ces éoliennes auraient permis d’avoir un financement important pour les comptes de la commune. Il voudrait plus de temps pour pouvoir étudier la situation.
Séverine Pivot demande si la commune ne pourrait pas trouver d’autres alternatives« propres».
Le Maire lui rappelle que les panneaux photovoltaïques sont déjà en place, que l’éclairage public va être repensé notamment pour fonctionner en éclairage led et que plusieurs projets de bâtiments équipés de panneaux solaires voient le jour actuellement sur la commune.

Le conseil municipal par 17 voix pour, 9 abstentions et 1 voix contre procède à l’abrogation de ces délibérations.

2021-01-02T13:51:51+01:00octobre 20th, 2020|Eolien|Commentaires fermés sur Levroux le nouveau maire refuse l’installation d’éoliennes

Annulation du jugement du tribunal administratif pour les éoliennes d’Argy Sougé

Rappel des faits :
La commune de Pellevoisin, l’association “Vivre au Boischaut Nord”, des habitants concernés et la société Beaulieu International Group, ont demandé au tribunal administratif de Limoges d’annuler l’arrêté du 18 décembre 2014 par lequel le préfet de la région Centre a autorisé la société Centrale éolienne du Nord Val de l’Indre à exploiter six installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent et un poste de livraison sur le territoire des communes d’Argy et de Sougé (Indre) et dont les premières études d’impact remontent à 2011 et 2012. Un arrêté du Conseil d’État a ouvert une faille qui rendait possible l’annulation de l’autorisation d’exploiter six éoliennes sur les communes d’Argy et Sougé. Dans cet arrêté, le Conseil d’Etat signale que le le préfet ne peut se baser sur un rapport favorable rédigé par le conseil environnemental qui dépend directement de la Dreal, un service préfectoral… Le tribunal reprochait donc à l’Etat d’être juge et partie.
Par un jugement no 1501075 du 28 décembre 2017, le tribunal administratif de Limoges a fait droit à leur demande et a annuler l’autorisation préfectorale d’exploiter le parc éolien nord Val de l’Indre.
Le jugement du tribunal administratif de Limoges du 28 décembre 2017 est annulé.

Procédure devant la cour administrative d’appel de Bordeaux:
I. Par une requête et un mémoire, enregistrés sous le n° 18BX00855 le 27 février 2018 et le 3 juin 2019, la société Centrale éolienne du Nord Val de l’Indre, représentée par Me AC…, demande à la cour :
1°) d’annuler ce jugement du tribunal administratif de Limoges du 28 décembre 2017 ;
2°) de rejeter la requête de la commune de Pellevoisin et autres ;
3°) subsidiairement, de procéder à la délivrance de l’autorisation en litige ou d’enjoindre au préfet de l’Indre de la délivrer, à défaut, de prononcer un sursis à statuer sur la requête initiale en application de l’article L. 181-18 du code de l’environnement et d’enjoindre au préfet de l’Indre de régulariser le vice entachant l’avis de l’autorité environnementale ;

Le 16 juin 2020, la Cour administrative d’appel de Bordeaux annule le jugement du tribunal administratif de Limoges du 28 décembre 2017.
DECIDE :
Article 1er : Le jugement du tribunal administratif de Limoges du 28 décembre 2017 est annulé.
Article 2 : La demande présentée devant le tribunal administratif de Limoges par la commune de Pellevoisin et autres est rejetée.
Article 3 : Les conclusions des parties présentées sur le fondement de l’article L. 761-1 du code de justice administrative sont rejetées.
Article 4 : Le présent arrêt sera notifié à la société Centrale éolienne du Nord Val de l’Indre, à Mme R… O…, à Mme Z… O…, à la commune de Pellevoisin, désignée représentant unique des autres intimés et au ministre de la transition écologique et solidaire.
Délibéré après l’audience du 19 mai 2020

Lien avec le jugement de la Cour administrative d’appel de Bordeaux

Le maire de Pellevoisin porte le dossier devant le Conseil d’Etat :
PROCES VERBAL DU CONSEIL MUNICIPAL DE PELLEVOISIN DU 18 SEPTEMBRE 2020 :
N° 18/09/2020 – 4 – portant sur le projet de Parc éolien Argy-Sougé – Poursuite de la procédure devant le Conseil d’Etat – Autorisation donnée au Maire et au cabinet Munier-Apaire
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu la délibération du conseil municipal n° D09.01.2015.1 de dépôt d’un recours contentieux au Tribunal Administratif contre le parc éolien d’Argy-Sougé,
Vu le jugement rendu le 28 décembre 2017 du tribunal administratif de Limoges qui a annulé l’arrêté du 18/12/2014 du Préfet de la région Centre qui donnait l’autorisation d’exploitation de la Société centrale éolienne du Nord Val de l’Indre du parc éolien d’Argy-Sougé,
Vu la délibération du conseil municipal n°D23.03.2018.4 d’autorisation au Maire d’ester en justice, Considérant la poursuite de la procédure devant le Conseil d’Etat contre l’arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux du 16 juin 2020.
Après en avoir délibéré, le Conseil municipal autorise :
– le cabinet MUNIER-APAIRE de diligenter et poursuivre la procédure,
– le Maire à signer toutes les pièces afférentes à ce dossier

2021-03-05T16:24:37+01:00juin 25th, 2020|Eolien|Commentaires fermés sur Annulation du jugement du tribunal administratif pour les éoliennes d’Argy Sougé

Municipales 2020 : dans six communes de l’Indre, il n’y pas assez de candidats

Pour les élections municipales des 15 et 23 mars prochain, six communes de l’Indre de moins de 1000 habitants, manquent de candidats par rapport au nombre de sièges à pourvoir. Mais contrairement au Cher, aucune commune n’est dépourvue de candidat.
Alors que le dépôt des candidatures pour les élections municipales est clos depuis ce jeudi soir, le préfet de l’Indre précise dans un communiqué qu’ “aucune commune n’est dépourvue de candidat”. En revanche, six d’entre elles ont un nombre de candidatures inférieur au nombre de sièges à pourvoir. C’est le cas de :

Murs, avec 9 candidats pour 11 sièges
Saint Christophe-en-Bazelle : 7 candidats pour 11 sièges
Saint Gilles : 10 candidats pour 11 sièges
Ingrandes : 2 candidats pour 11 sièges
Lourdoueix-Saint Michel : 1 candidat pour 11 siéges
Le Tranger : 1 candidat pour 11 sièges
Dans ces communes de moins de 1000 habitants, les élections seront toutefeois organisées normalement. Pour être élus au 1er tour de scutin, les candidats devront obtenir la majorité absolue des suffrages exprimés et un nombre de suffrages au moins égal au quart de celui des électeurs inscrits. La préfecture de l’Indre ajoute que des candidatures pourront être déposées en préfecture et sous-préfecture à l’issue du 1er tour. Si des conseils municipaux ne pouvaient pas fonctionner faute d’élus en nombre suffisant, le préfet mettrait en place une délégation spéciale qui sera chargée de gérer les affaires courantes et d’organiser de nouvelles élections municipales.

4853 candidatures dans l’Indre

Alors qu’il ya 3235 conseillers muncipaux a élire dans le département, la préfecture a reçu 4853 candidatures. Sur ces candidats, 2117 sont des femmes et 2736 des hommes. Le plus jeune candidat a 18 ans, le plus âgé, 95 ans. 1688, c’est le nombre de conseillers muncipaux sortants qui se représentent. Ils sont 162 maires sur 241 élus actuellement qui ont décidé de solliciter à nouveau les suffrages des électeurs.

Pour les communes de plus de 1000 habitants, 78 listes ont été déposées pour 41 communes ; 17 ne disposent que d’une seule liste.

2020-03-05T13:50:08+01:00février 28th, 2020|Elections|Commentaires fermés sur Municipales 2020 : dans six communes de l’Indre, il n’y pas assez de candidats

De ferme en ferme 2019, les 27 et 28 avril 2019

Le CIVAM relaie localement en Boischaut Nord, l’opération nationale de promotion de l’Agriculture Durable portée par le Réseau CIVAM et organisée chaque année le dernier week-end d’avril.
Les fermes du territoire ouvrent leurs portes et font découvrir au grand public leur métier et quotidien!
Pour 2019, l’opération aura lieu le samedi 27 et dimanche 28 avril, notez la date dans vos agendas.

21 EARL du Petit Mée
Éliane et Alain Quaak
Le Petit Mée
36700 CLION-SUR-INDRE
rte D943 – 46.9551 1.2023
Tél. 0254386474 safran.du.petit.mee@hotmail.fr
Notre exploitation familiale en conversion bio produit des céréales, des volailles et du safran. Venez découvrir les différentes étapes de la culture du safran et ses mul- tiples usages !

22 SCEA des Iles
Annick et Jacky Béchereau
La Forêt
36320 VILLEDIEU-SUR-INDRE
rte D943 – 46.8596 1.5011
Tél. 0682391251 annickbechereau@hotmail.fr
Notre exploitation familiale produit des céréales, des légumes de plein champ bio et des plants de toutes les couleurs: tomates, courgettes, courges etc. Venez nous découvrir et en apprendre plus sur les légumes !

23 La Ferme du Relais Robin Doublier
Le Relais – 36180 PELLEVOISIN rte RD11 – 46.9697 1.4208
Tél. 0769199234 robin@lafermedurelais.fr
La Ferme du Relais abrite des cultures diversifiées, transformées sur place en farine et en huile. L’objectif est de continuer la diversification. La ferme est en conversion vers l’agriculture biologique.
L’association “Le Relais des Pas Sages”, à l’occasion de son ouverture de saison 2019, vous invite le samedi 27 à une journée agriculturelle festive consacrée au chant ! Au pro­gramme : balade commentée et chantée, chorale, atelier chant, concert, boeuf musical. Repas composé de produits locaux à prix libre et conscient, buvette !

24 Moulin de Naix
Gilles Pinon
Mouin de Naix
36180 PELLEVOISIN
rte D15D – 47.0058 1.4369
Tél. 0254390438 gillespinon@orange.fr
Au cœur de notre ferme familiale, venez découvrir notre ancien moulin à eau, notre élevage de vaches charolaises ainsi que nos céréales en agriculture biologique.

25 GAEC La Ferme du Plessis Doré
Marie-Thérèse Jambut et Didier Auger
7, rue du Plessis Doré
36210 POULAINES
rte D960 – 47.1560 1.6445
Tél. 0951505797 lafermeduplessisdore@free.fr
Élevage d’espèces et de races multiples : chèvres, chevreaux, porcs, vaches, et veaux de lait. Autonomie alimentaire et énergétique, en bio et conversion bio. RDV pour des moments d’échanges et de dégustation.

2019-07-10T09:59:57+01:00avril 16th, 2019|Actualités, Agriculture, Sortie|Commentaires fermés sur De ferme en ferme 2019, les 27 et 28 avril 2019

Avis favorable du commissaire enquêteur pour l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Le Commissaire- Enquêteur émet UN AVIS FAVORABLE, au projet de permis de construire déposé par la Sté SAS SERGIES POITIERS pour la réalisation d’une centrale photovoltaïque au sol d’une surface d’environ 2ha au lieu-dit « Les sables du Patureau » sur la Commune de Châtillon sur Indre.(enquête publique préalable à la délivrance d’un Permis de construire).
SOUS RESERVES QUE LA SAS SERG1ES respecte ses engagements concernant la protection de l’environnement et la sécurité sur le site pendant et après les travaux.

Les contributions du public :

> Contribution_A_de_Montigny – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 0,05 Mb

> Contribution_Mr_Pain_Jacques – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 0,47 Mb

> Contribution_SDEI – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 0,13 Mb

Le rapport du commissaire enquêteur :

> Rapport CE installation photovoltaïque – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 9,84 Mb

2019-04-16T18:27:22+01:00mars 16th, 2019|Photovoltaïque|Commentaires fermés sur Avis favorable du commissaire enquêteur pour l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

ARRETE préfectoral N° 36-2018-11-28-003 du 28 novembre 2018 prescrivant l’ouverture de l’enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque au sol d’une surface d’environ 2 ha au lieu-dit « Les Sables du Patureau» sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Article 1″ : Il sera procédé du jeudi 3 janvier 2019 à 9 heures au lundi 4 février 2019 à 12 heures dans la commune de CHATILLON-SUR-INDRE à une enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque au sol d’une superficie d’environ 2 ha au lieu-dit « Les Sables du Patureau».
Article 2 : Monsieur Jean-Claude VACHER, commissaire enquêteur, siégera en mairie de CHATILLON¬SUR-INDRE
− Le jeudi 3 janvier 2019 de 9 heures à 12 heures, – Le mardi 15 janvier 2019 de 14 heures à 16 heures 45,
– Le vendredi 25 janvier 2019 de 14 heures à 16 heures 45,
– Le lundi 4 février 2019 de 9 heures à 12 heures.

> Arrêté_28_novembre_2018_ouverture_enquête_publique_CHATILLON – format : PDF  – 0,13 Mb

> Demande de permis de construire – format : PDF  – 1,71 Mb

> Avis_Autorite_Environ – format : PDF  – 0,03 Mb

> Resume_non_technique_EIE_Chatillon_072018 – format : PDF  – 4,11 Mb

> Etude-d’Impact_Chatillon – format : PDF  – 21,82 Mb

2019-04-16T14:33:21+01:00décembre 16th, 2018|Non classé, Photovoltaïque|Commentaires fermés sur Enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Journée du patrimoine 2018 dans le Boischaut nord

Les 35e journées européennes du patrimoine auront lieu le samedi 15 et dimanche 16 septembre 2018.

Programme pour le Boischaut nord :

Argy : Château – tel : 02 54 84 21 55
Le château d’Argy semble s’être échappé du Val de Loire ! Il est tout en contrastes, comme un témoin du temps qui passe. Le château Renaissance et l’imposant donjon du XVe-VIe siècle mène à une galerie Renaissance toute en finesse et en légèreté avec étage richement décoré. Le corps du logis qui s’étend à l’est entre deux tours rondes plus petites ne date que du XIXe siècle. Les communs datant du XVIIe siècle, l’ancienne grange à porteau abrite le Columbarium des Archives Nationales. Parc de 36 ha.
Visite libre, sous réserve.

Azay-le-Ferron : Château et musée
Dix-huit pièces entièrement meublées évoquent la vie dans une confortable demeure de chasse : mobilier empire, restauration, Louis XV et Louis XVI. Importants tableaux et objets d’art jalonnent le parcours de visite.Visite libre du parc
Visite commentée
Visite guidée du château et parc libre. Le château d’Azay-le-Ferron, d’une riche architecture du XVe au XVIIIe siècle, est une véritable machine à voyager dans le temps qui nous transportera à travers les styles et les époques artistiques. Vous parcourrez les nombreux salons, chambres, salle à manger, cuisine, bibliothèque… Soit environ 15 pièces somptueusement meublées.
samedi 17 septembre – 10h00 à 18h00
dimanche 18 septembre – 10h00 à 18h00
Tarifs : Adultes 4 €, enfants (6 à 18 ans) 2 € et parc gratuit.
Bouges le château : Château – 15 rue du Château – 02 54 35 88 2
chateau.bouges@monuments-nationaux.fr – lisztomanias.de.chateauroux@gmail.com
Construction à l’italienne, le château de Bouges fut bâti sous le règne de Louis XV. Les communs et le jardin à la française sont entourés d’un magnifique parc de 80 hectares. Importantes collections de meubles et objets d’art.
Visite libre des extérieurs et de son parc de 80 hectares
Visite libre

Châtillon : Centre François-Garnier – 10 Place du Marché – 02 54 38 74 57 – contact@rencontre-patrimoine-religieux.com
Le Centre François-Garnier est installé dans le site historique du château royal de Châtillon-sur-Indre. Ses locaux occupent plus particulièrement l’ancienne chapelle gothique du château, dont subsistent de nombreux vestiges.
Créé en 2004 par l’Association Rencontre avec le Patrimoine religieux, il développe diverses activités de recherche, d’étude et de valorisation du patrimoine religieux dont la région Centre est particulièrement riche, et met à la disposition des étudiants et des chercheurs un centre de documentation spécialisé dans ce domaine.
Visite commentée
Le Centre François-Garnier recueille une documentation et met en place des actions permettant de mieux connaître le patrimoine religieux. Il occupe la chapelle du château de Châtillon-sur-Indre.
samedi 15 septembre – 09h00 à 12h00 – 14h00 à 17h30
Ensemble castral – Place du Vieux Château – 02 54 38 74 19
Bâtiment dit des prisons, centre François-Garnier, château et donjon, collégiale Saint-Outrille.
Ensemble castral comprenant donjon et courtines du XIIe siècle, logis seigneurial, chapelle et communs du XIIIe siècle Collégiale romane du XIIe siècle.
Le siècle qui vient de s’écouler est insuffisant pour couvrir la protection du patrimoine châtillonnais qui a débuté au milieu de XIXe siècle par le classement M.H. de la collégiale Saint-Austregisile (liste de 1862). Les journées de septembre seront consacrées à la maîtrise foncière communale de l’ensemble castral, aux protections et aux restaurations qui en ont découlé. Totalement démembré entre 1798 et 1809. Le remarquable ensemble castral de Châtillon sur Indre a été remembré à compter du legs du donjon en 1870. Depuis cette première étape, la quasi totalité des municipalités qui se sont succédées ont poursuivi les acquisitions, avec des motivations ou des objectifs divers. Ce travail de longue haleine s’est achevé en 2012 par l’acquisition d’un îlot privé englobant la tour du “Paradis à Cognet”, vestige de la forteresse Plantagenet édifiée dans le troisième quart du XIIe siècle.

Collégiale Saint-Outrille
L’actuelle église paroissiale Notre-Dame de Châtillon-sur-Indre fut, jusqu’au XVIIIe une collégiale, servie par un chapitre de chanoines séculiers et dédiée à saint Austregisile, archevêque de Bourges au VIIe. La construction aurait commencée dans le dernier quart du XIe et se serait poursuivie pendant la première moitié du XIIe. De l’abside jusqu’à la façade occidentale le visiteur suivra l’évolution de la construction de ce remarquable édifice qui s’étend des débuts de l’art roman jusqu’à l’efflorescence du gothique.Venez découvrir son porche sculpté, ses chapiteaux, les vigoureux piliers romans qui soutiennent la voûte en berceau brisé ainsi que l’étonnante hauteur de la nerf (près de 20 m)

Clion : Château de l’Isle Savary – 02 54 38 61 70
Sans doute le dernier château fort construit en France (en 1460) avec ses douves, ses pont-levis, son chemin de ronde, ses échauguettes etc…, ce magnifique monument historique classé est en même temps le précurseur des châteaux Renaissance dont il présente, avant l’heure, les caractéristiques d’équilibre, d’esthétique et de magnificence qui font leur réputation mondiale. Possédé pendant plus de vingt ans par M. de Frontenac qui gouverne le Québec, l’Acadie et Terre Neuve, puis un siècle plus tard par le Comte de Jouffroy qui rénova notamment l’ensemble du rez-de-chaussée pour y faire de magnifiques pièces Empire, ce château a ensuite été abandonné pendant plus de 100 ans.

Écueillé : Eglise Notre Dame – Rue de la Vieille-Église – 02 54 40 21 10 – mairie.ecueille@wanadoo.fr
A quelques mètres d’un ruisseau appelé la Tourmente, l’église se trouve en fond de vallon. Cette implantation n’empêche pas les promeneurs et automobilistes de l’observer d’assez loin, en raison de son clocher massif couronné d’une flèche en pierre. Un plan d’eau se trouve derrière l’église.
Visite libre
Samedi-dimanche : 14h-18h.
Dimanche : 15h.

Le train du Bas-Berry – S.A.B.A. – Gare d’Écueillé, 96 bis avenue de la Gare – 02 54 40 23 22 – traindubasberry@laposte.fr
Voie ferrée métrique (27 km) entre Argy et Luçay-le-Mâle, ancienne ligne du Blanc-Argent, avec mise en valeur par un train touristique. Gare, atelier d’entretien et installations ferroviaires représentatifs des anciens chemins de fer départementaux.
Visite commentée :
Découverte commentée du site de la gare d’Écueillé. Histoire de l’ancienne ligne de chemin de fer du Blanc à Argent. Découverte des bâtiments, des installations techniques et du matériel roulant historique sauvegardé.
Samedi : 13h-18h. Dimanche : 10h-19h.
Exposition :
Photos, maquettes et matériel :
Samedi : 14h-18h. Dimanche : 10h-12h30 et 14h-18h30.
Circuit : voyage en autorail ou train à vapeur. Exposition et visites libres ou guidées durant le voyage..oyage en autorail : départs à 13h45 et 16h55, pour aller/ retour Ecueillé/Luçay-le-Mâle. Voyage en train tracté par la locomotive à vapeur : départ 15h00, pour aller/retour Ecueillé / Heugnes
samedi 15 septembre – 13h30 à 18h30
dimanche 16 septembre – 13h30 à 18h30
Renseignements sur le site du Train du Bas-Berry : www.traintouristiquedubasberry.com
Tarifs des voyages : autorail 7 €€/adulte et 5 €€/enfant de 4 à 12 ans ; train à vapeur 12 €€/adulte et 7 €€/enfant de 4 à 12 ans ; gratuit moins de 4 ans .

Éguzon :  Musée

Faverolles: Église Notre-Dame – 2 rue de la Mairie – 02 54 40 42 11
Église de style roman construite aux XIe et XIIe siècles. Remaniée à l’époque gothique, elle présente des travées de voûtes d’ogives flamboyantes dans la nef et des chapiteaux à feuillage. Dans la commune à voir, statue de Benjamin Rabier, célèbre dessinateur humoristique animalier qui repose dans le cimetière communal.
Visite libre
Samedi-dimanche : 9h-18h.

Frédille : Ancienne abbaye du Landais
Site d’une abbaye cistercienne en partie disparue. Chapelles des transepts, sacristie, chambre de l’abbé, partie mur goutterot Sud de l’abbatiale, aile des convers (XIIe-XVIIe siècles), fontaine du cloître, ouche, vivier.
L’église abbatiale était d’un taille assez conséquente : cinquante-six mètres de longueur et 18,5 mètres de largeur. La nef était voûtée en croisée d’ogives et haute de dix-sept mètres. Le plan, cistercien traditionnel, reprenait le classique chevet plat avec deux chapelles de chaque côté du chœur.
Les murs étaient peints ; il en reste une fresque de la vierge à l’enfant dans la chapelle sud, ainsi qu’une autre représentant probablement Saint Bernard.
A voir de l’extérieur.

Levroux : Maison de bois
Maison à pan de bois de la fin du XVe siècle. Encorbellement à l’étage. Décoration et personnages sont de style gothique. Elle servait d’auberge pour les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle. Elle abrite aujourd’hui l’Office de tourisme et des expositions.

Luçay-le-Mâle :  Musée de la Pierre à fusil.
Église Saint-Maurice
L’église réaménagée au XIVe siècle avec construction du clocher. La chapelle nord reçoit les sépultures des Seigneurs de Rochefort.
Sur face sud : caquetoire “les aîtres” où se discutaient les affaires civiles et religieuses de la ville. A l’extérieur, “Pierre des morts”,
grand socle du XVIIIe siècle, avec autour un cimetière mérovingien. Façade du grand portail porte une statue de cavalier.
Visite libre
Samedi-dimanche : 9h-18h.
Musée de la Pierre à Fusil
4 rue Roger Ménars – 02 54 40 51 11 – 02 54 40 43 31
Le musée retrace l’épopée du petit éclat de silex qui permettait de produire l’étincelle qui, mettant le feu à la poudre, provoquait la propulsion du projectile. Etonnante reconstitution d’un “crot” c’est-à-dire d’un puits d’extraction de rognons de silex. Découverte des 3 aspects de l’histoire économique de Luçay : les forges et la fonderie, les champignonnières et les carrières de calcaire.
Visite libre ou commentée
Samedi-dimanche : 14h-18h.
Tarif spécial : 2 €.

Lye :  Église Notre-Dame, ferme de Saray.
Église Notre-Dame
Église romane avec fresques du XIIe au XVIe siècle. Édifice construit au XIIe siècle, modifié et agrandi vers 1500 : voûtement sur croisée d’ogives de la nef, construction de la chapelle sud (avant 1507) et percement de deux grandes arcades dans le mur sud
du choeur, construction d’arcs-boutants et de contreforts supplémentaires contrebutant les murs de la nef.
Visite libre
Samedi-dimanche : 10h-12h30 et 14h-18h.
Ferme de Saray
Ensemble fermier complet avec une tour-chapelle, pigeonnier à double échelle tournante, four à pain et autres dépendances, sur une cour fermée caractéristique de la région nord-ouest du Berry. Les différents bâtiments datent du XIIIe au XIXe siècles.

Mézière en Brenne : Collégiale Sainte-Marie-Madeleine:
Premier monument historique classé dans l’Indre, la collégiale, l’église Sainte-Marie-Madeleine, comporte un portail orné d’un riche tympan ouvrant sur une façade peu commune, des vitraux restaurés des XIV et XVIe siècles, une chapelle Renaissance, des stalles bénédictines, des poutres peintes aux armes des anciens seigneurs ainsi que des chapelles latérales des ducs d’Anjou.
Le Samedi 15 Septembre 2018 de 08h30 à 12h00
Le dimanche 16 Septembre 2018 de 08h30 à 12h00
Maison de la pisciculture et musée d’histoire:
Depuis le Moyen Âge, les hommes de Brenne créent et utilisent les étangs. Ils ont, au cours des temps, développé les techniques de maîtrise de l’eau et celles de la sélection du poisson. La Maison de la Pisciculture invite le visiteur à regarder évoluer carpes, brochets et gardons, à s’initier au principe de vidange des étangs et à découvrir l’art de l’élevage du poisson. Maquette et films vidéo complètent la visite. Dans l’une des tours restaurées de l’ancien château, petit musée d’histoire locale.
samedi 15:00-18:00. Payant, sans inscription 2€50 par personne

Moulins-sur-Céphons
Le village de Moulins-sur-Céphons est un ancien bourg castral qui conserve la motte de son premier château érigée au XIe siècle et occupée jusqu’à la guerre de Cent Ans (classée au titre des monuments historiques en 1978), l’église paroissiale formée de deux nefs accolées des XIe et XIIIe siècles (inscrite au titre des monuments historiques en 1927), la tour du châtelet d’entrée du bourg du XIVe siècle, et deux résidences seigneuriales du début et du milieu du XVe siècle.
Cette “Maison de bois” est une résidence seigneuriale du début du XVe siècle. Elle a été remaniée et transformée au cours de ce siècle en maison bourgeoise, puis en médiathèque. Elle a été restaurée dernièrement.
Dans la plus ancienne de ces résidences, visite de l’exposition permanente “Seigneurs, artisans, paysans: archéologie d’un village médiéval” qui présente les résultats des fouilles et des recherches historiques menées sur le village (un plan du bourg et de ses vestiges médiévaux y est disponible).
Samedi / dimanche. Gratuit, sans inscription

Palluau : Église Saint-Sulpice – Collègiale Sainte-Menehoulde
Située au pied du château, l’église collégiale du XIIème, anciennement église Sainte Menehould, est devenue Saint-Sulpice après le Concordat de 1801. C’est un édifice cruciforme, avec un choeur à pans coupés, présentant dans ses différentes parties des exemples des formes successives de l’art gothique local. Elle est ornée de nombreux vitraux, de stalles du XVème siècle, de statues polychromes du Moyen Âge et de l’époque moderne et de magnifiques boiseries. La chapelle seigneuriale, au nord, a été édifiée en 1502 par Charles de Tranchelion. Les statues disposées autour du choeur sont pittoresques (ici Saint Jacques, statue polychrome du Xvème siècle, classée monument historique en 1908).
Sa chapelle Marie-Madeleine est classée monument historique.
Visite libre
Samedi-dimanche : 8h-19h.

Prieuré Saint-Laurent
Ancienne église St-Laurent. Eglise romane du XIIe siècle en partie transformée en habitations. Remarquable fresques romanes, notamment la Vierge et l’Enfant. Martyre de St-Laurent sur le gril, datant du XVe siècle.
Visite libre
Samedi-dimanche : 10h-18h.
Château de Palluau Frontenac
Ouverture le samedi 17 et dimanche 18 septembre, de 14 à 17 h ;
visite guidée des salons et accès au parc. Gratuit pour les moins de 4 ans, 2 € pour les enfants de 4 à 6 ans, 5 € pour les 5 à 17 ans, 6,50 € pour les adultes.
Pommiers : Château du Châtelier
Deux corps de bâtiments des XVe et XVIIe siècles séparés par une cour pavée, entourés de douves. Visite libre des extérieurs
Dimanche : 10h-12h-14h-17h

Poulaines :
Jardins et Arboretum :
Cette année, la moitié des bénéfices des entrées du week-end sera reversée à l’association « Jardins et santé ». Sa vocation est de concevoir et aménager des jardins dans les lieux de soins pour les personnes atteintes de maladies cérébrales.
Samedi et dimanche, à 15H, Valérie Esnault, propriétaire du domaine propose une visite guidée des jardins. Découvrez les essences plantées, leur organisation, leur entretien, les univers créés avec ravissement. L’équipe de l’EPHAD Les Rousselières sera présente pendant ces deux jours afin d’expliquer leur projet de jardin à vocation thérapeutique.
Venez soutenir cette louable initiative verte lors d’une journée bucolique et instructive au domaine de Poulaines.
samedi 15: 13h00 à 15h00, 15h00 à 16h00, 16h00 à 18h00, dimanche 16: 13h00 à 15h00, 15h00 à 16h00, 16h00 à 18h00
Église Saint-Saturnin
Église construite au XIIe siècle. Le clocher-porche fut certainement construit dans le 1er quart du XIIIe siècle. Cette église est constituée d’une nef de trois travées et d’un choeur de deux travées. La construction du choeur, dans le prolongement de l’ancien, a pu intervenir vers 1500, au moment où s’élevait, pour le seigneur de Tessonnières, la chapelle de Sainte-Marguerite, adossée au mur gouttereau nord de l’édifice. A partir de 1868, l’architecte départemental Alfred Dauvergne construisit les deux travées de la chapelle de la Vierge. L’intérêt majeur de cette église rurale réside dans son décor sculpté et peint. Les huit colonnes engagées de la nef romane portent des chapiteaux ornés de rubans croisés ou de feuilles d’eau d’où peuvent émerger des têtes humaines. La voûte d’ogives, à huit quartiers rayonnants, de la chapelle Sainte-Marguerite repose sur des culots sculptés et peints, représentants
des têtes humaines, contemporains de la décoration picturale réalisée à la détrempe dans le dernier quart du XVe siècle. Une Annonciation et les figures en pied des apôtres, groupées par deux, occupent les huit voûtains. Les couleurs employées sont
l’ocre-jaune, le brun rouge, un ton plus foncé pour les faux-joints et un bleu pour le fond des figures.
Visite de 14h00 à 18h00

Rosnay :  Château du Bouchet – 11 Le Bouchet en Brenne – 06 72 01 62 15
Le château du Bouchet en Brenne qui a conservé son aspect de forteresse médiévale, malgré d’importantes transformations réalisées au XVIIe siècle, se dresse sur la plus haute butte de la Brenne dominant le grand étang de la Mer Rouge. Le panorama offert de la terrasse ou du donjon s’étend jusqu’à 80 kms à la ronde. La partie la plus ancienne du château la tour nord date du XIIe siècle.
Le grand donjon dont subsistent encore les traces du pont-levis, date du XIVe siècle tandis que le petit donjon a été construit par les Anglais au XVe siècle durant la Guerre de Cent ans. Après avoir été occupé par différentes familles locales, le château a été acquis par la famille Rochechouart de Mortemart au XVIe siècle qui a effectué des transformations de la forteresse en demeure de villégiature au XVIIe siècle. L’un des propriétaires, Gabriel de Rochechouart, était le père de la célèbre marquise de Montespan qui aurait fait quelques séjours au Bouchet. En 1808, Victor Hérault de La Véronne acquiert le château qui continue d’appartenir à ses descendants.
Visite libre
Samedi : 10h-12h et 14h-18h. Dimanche : 14h-18h.
Les Étangs Foucault – 02 54 37 05 13 – 02 54 37 25 20 – ecomusee.brenne@wanadoo.fr
Ce site de 110 ha appartient au Parc naturel de la Brenne. Aujourd’hui espace protégé, il comprend quatre étangs, des prairies gérées de manière extensive par pâturage de bovins et quelques buttons. Son paysage est emblématique de la Brenne et permet
de retracer son histoire.
Parcours commenté
Histoire des paysages de la Brenne par Renaud Benarrous, archéologue au Parc naturel régional de la Brenne, vous entraînera dans les prairies et landes du site protégé des étangs Foucault, à Rosnay, sur les buttons et les chaussées d’étangs. Il vous aidera à
trouver les multiples indices permettant de comprendre l’histoire des lieux et vous pourrez, avec lui, découvrir les réponses aux “vieilles” interrogations : De quand datent les étangs ? Pourquoi ont-il été créés ? et par qui ? les légendaires moines brennous
ont-ils vraiment assaini un marécage hostile et inhabité ? Rien n’est moins sûr au vu des dernières découvertes… Rendez-vous sur le parking des étangs Foucault ; durée de la visite : 2h. Nombre de personnes limité à 12. Déplacements : à pied. Prévoir
chaussures de marche et vêtements adaptés à la météo. Réservation obligatoire.
Dimanche : 09h30.

Saint-Genou : Église abbatiale Sainte-Marie – Place de l’Église – 02 54 38 45 95
Église abbatiale romane du XIIe siècle dont subsistent l’abside, le choeur des moines et le transept, ornés de chapiteaux.Malgré la destruction de sa nef au XVIIe siècle, l’église de Saint-Genou reste l’un des plus purs monuments de l’architecture romane en Berry.
Elle se compose d’un transept, partiellement conservé, élevé sur le modèle de celui de Saint-Martin de Tours, d’un chœur droit pourvu d’une splendide colonnade, ornée de chapiteaux pour certains historiés, terminé par une abside circulaire abritant, sous l’autel moderne, le tombeau de saint Genou, dont la dalle funéraire a été conservée avec son inscription dédicatoire.
Visite libre
Samedi-dimanche : 9h-19h.
Lanterne des morts – Rue d’Éstrée – 02 54 38 45 95
Située sur le site de l’ancien cimetière paroissial d’estrée, la lanterne des morts était allumée la nuit en signe de communion avec les défunts. La date de sa fondation est incertaine, elle peut remonter au XIVe siècle.
Visite libre

Saint-Lactencin : Manoir des Fauves
Demeure de Sarah Caryth-Rancy entre 1928 et 1941. Danseuse hindoue, charmeuse de serpents puis dompteuse de lions, la Dame du cirque est célèbre en Europe pour son domptage en pelotage et pour la pose de dents en or à son lion Prince en 1933.

Valençay : Musée de l’automobile, parc et Château, rendez-vous de chasse de La Garenne
Le Musée de l’Automobile de Valencay présente une soixantaine de véhicules, de 1898 à 1971, en état de fonctionnement, ainsi qu’une importante collection d’enseignes de garage, de pièces détachées et d’affiches d’époque.
Château Renaissance avec un magnifique donjon. Imposante aile ouest de style classique. Pièces meublées, jardins à la Française et parc à l’Anglaise. Ancienne demeure du Prince de Talleyrand, ministre des Affaires Étrangères de Napoléon.

Veuil : Église Saint-Pierre
La Transaction passée en 1162 entre les moines de Villeloin et l’archevêque de Bourges nous révèle que la paroisse de Veuil existait déjà dans la seconde moitié du XIIe siècle. L’église fut transformée et agrandie au XVIe siècle.

Vicq-sur-Nahon : Château de La Moustière

Villegouin : Le Moulin Neuf
Moulin à eau avec coursier, le long d’un ruisseau, avec son canal de retenue d’eau, son coursier et sa roue à aube. A regarder en se promenant sur le chemin communal. Gratuit samedi et dimanche

2019-03-02T13:39:46+01:00septembre 12th, 2018|Histoire, Tourisme|Commentaires fermés sur Journée du patrimoine 2018 dans le Boischaut nord

Bénéficiaires des aides de la politique agricole commune

En application du règlement européen (UE) n° 1306/2013 du Parlement européen et du Conseil, daté du 17 décembre 2013, chaque Etat membre est tenu de publier un certain nombre d’informations relatives aux bénéficiaires des aides de la politique agricole commune (PAC), qu’elles relèvent du fonds européen agricole de garantie (FEAGA) ou du fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER).

Les informations qui peuvent être consultées sont les suivantes
la dénomination du bénéficiaire,
la commune d’enregistrement et le code postal,
les montants des paiements (en euros) correspondant à chaque mesure financée par le FEAGA ou par le FEADER,
le type et la description des mesures concernées par les paiements précités,
et la somme des montants (en euros) perçus par le bénéficiaire au cours de l’exercice financier concerné.

Lien Telepac

https://www1.telepac.agriculture.gouv.fr/telepac/tbp/accueil/accueil.action

2018-10-03T23:44:23+01:00mai 3rd, 2018|Agriculture|Commentaires fermés sur Bénéficiaires des aides de la politique agricole commune

Les oiseaux français décimés par l’agriculture

Dans les campagnes françaises, les oiseaux déclinent «à une vitesse vertigineuse», avec une perte d’un tiers d’individus en 15 ans, constatent mardi 20 mars le MNHN et le CNRS. La faute de pratiques agricoles irrespectueuses de l’environnement, en particulier des pesticides, qui minent les chaînes alimentaires.

Menée via le programme de sciences participatives Stoc (Suivi temporaire des oiseaux communs), animé par le Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), la première étude révèle que la France a vu une fonte de 33% des effectifs d’oiseaux vivant en zone agricole depuis 2001, au niveau national.

LES PERDRIX EN CHUTE DE 80%
L’autre série de résultats, menée sur la Zone atelier «Plaine et Val de Sèvre» du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), confirme ces résultats au niveau local: menée sur 160 points d’écoute suivis depuis 1995 par des chercheurs du Centre d’études biologiques de Chizé (Deux-Sèvres), elle révèle un déclin de 35% pour l’alouette, et de 80% pour la perdrix.
Ces résultats viennent confirmer les résultats d’une étude britannique publiée en novembre 2014, qui estimait à 421 millions le nombre d’oiseaux disparus en Europe depuis 1980, en particulier des espèces aussi communes que le moineau domestique, l’étourneau sansonnet, la perdrix grise et l’alouette.

LA BIODIVERSITÉ COMMUNE EN CRISE
«Cette tendance touche toutes les espèces inféodées au milieu agricole: la biodiversité commune connaît un très fort déclin. Cela aurait été impensable il y a une vingtaine d’années, et pourtant ces espèces souffrent aussi des pratiques de l’homme sur l’environnement, notamment de l’agriculture», explique au JDLE Benoît Fontaine, coordinateur du programme Stoc et chercheur au Centre des sciences de la conservation (Cesco, MNHN/CNRS/université Pierre-et-Marie-Curie).
Comment expliquer un déclin aussi rapide? Pour les chercheurs, c’est l’intensification agricole, particulièrement marquée ces 25 dernières années, qui est responsable de cette catastrophe. Avec deux grandes causes: les changements d’usage des sols, dont les grandes monocultures qui entraînent la disparition d’habitats pour les espèces, et les pesticides.

PESTICIDES: EFFETS DIRECTS ET INDIRECTS
La nocivité de ces derniers est en partie directe, par imprégnation des oiseaux, selon un phénomène de bioaccumulation du fait de leur position en haut de chaîne alimentaire. Contactée par le JDLE, Sabrina Gaba, de l’unité Agripop (CNRS/Inra) au Centre d’études biologiques de Chizé, évoque ainsi des travaux montrant un effet d’une imprégnation par les néonicotinoïdes sur la survie des perdrix.
Mais l’effet serait surtout indirect: «on parle beaucoup des néonicotinoïdes, du fait de leur impact sur les pollinisateurs, mais toutes les substances qui visent les plantes [adventices], les champignons et les insectes assèchent une source de nourriture pour d’autres espèces. C’est tout un maillon de la chaîne alimentaire qui disparaît», explique Benoît Fontaine.

UNE ALIMENTATION QUI SE RARÉFIE
A l’automne 2017, une étude allemande révélait ainsi la disparition de trois quarts des effectifs d’insectes depuis le début des années 1990. Selon des données non publiées, obtenues dans la Zone atelier «Plaine et Val de Sèvre», la tendance serait similaire en France, avec une baisse de 80% des effectifs d’insectes depuis le début des années 1990.
En matière de phytosanitaires, «on arrive au bout du système. Il faut complètement renverser notre manière de voir les choses, envisager l’agriculture d’une toute autre façon. Il n’est pas trop tard: il y a une prise de conscience indéniable de la société. C’est ce que montre l’essor du bio: cette préoccupation pour la santé est aussi bénéfique pour les oiseaux et les insectes», juge Benoît Fontaine.
LA NÉCESSITÉ D’UNE RÉVOLUTION AGRICOLE

Face à la rapidité du déclin de la biodiversité, le nécessaire aggiornamento agricole surviendra-t-il à temps? «On peut être optimiste, et espérer un changement drastique, mais il faut constater que les mesures prises ces dernières années, en faveur de l’agro-écologie ou avec les plans Ecophyto [qui visent une réduction de l’usage des pesticides, ndlr], ont eu peu d’impact sur les pratiques», note Sabrina Gaba.
Pour Benoît Fontaine, «la situation est dramatique, mais on peut vraiment faire quelque chose. Pour cela, il faut redresser la barre à tous les niveaux, que ce soit au niveau des citoyens et des consommateurs, des autorités et des agriculteurs», «pris dans un système qui leur échappe en grande partie et dont beaucoup ne demandent rien d’autre qu’un changemen

2018-04-27T23:36:50+01:00mars 20th, 2018|Biodiversité, Environnement|Commentaires fermés sur Les oiseaux français décimés par l’agriculture

Argy-Sougé : le projet éolien menacé

Un tout récent arrêté de Conseil d’État a ouvert une faille qui rend possible l’annulation de l’autorisation d’exploiter six éoliennes sur les communes d’Argy et Sougé. Si l’arrêté du préfet était annulé, la société centrale éolienne du nord Val de l’Indre devrait recommencer toute la démarche initiée voilà quatre ans. La décision a été mise en délibéré au 28 décembre.
Le 14 décembre, le tribunal administratif de Limoges a examiné une requête en annulation de l’autorisation d’exploiter accordée par le préfet de l’Indre à la centrale éolienne du nord Val de l’Indre. Il s’agit d’une centrale d’énergie verte composée de six éoliennes d’environ 126 m, devant être installées sur les communes d’Argy et Sougé, le tout étant administrativement adossé à la société Neoen, opérateur connu et estimé sur le marché.
Projet enclenché en 2013
Seize particuliers, riverains de la centrale, ainsi que l’association Vivre au Boischaut-Nord, le groupe Beaulieu international et la commune de Pellevoisin, s’opposent vigoureusement à ce projet enclenché fin 2013 et dont les premières études d’impact remontent à 2011 et 2012.
« Ils défendent leur qualité de vie », argue Me Monamy. « Comme souvent dans ce genre de projets, la commune qui accueille l’activité y est favorable tant que le parc est loin de ses yeux et de ses oreilles, et donc le relègue à ses confins : aux portes de chez mes clients », a observé le juriste lors d’une audience qu’il a traversée serein, convaincu de sa victoire.
Huit jours plus tôt, la partie était pourtant loin d’être gagnée pour ses clients. « Le rapporteur le dit parfaitement : aucun des points qu’ils soulèvent n’est recevable. Qu’il s’agisse les études d’impact, du financement ou même du calendrier des opérations, tout a été fait dans les règles », affirme Me Versini-Campinchi, avocat de Neoen.
Mais alors que tous les vents lui étaient favorables, l’arrêté n° 400559 du Conseil d’État a offert à son contradicteur la faille procédurale qui manquait au dossier. En effet, dans cet arrêté, la plus haute autorité juridique affirme qu’en aucune manière, l’État ne peut être juge d’une décision prise sur la base des arbitrages émis par ses propres services… Et c’est en ce sens qu’a conclu le rapporteur public.
De quoi conforter Me Monamy qui a longuement plaidé sur le fait qu’en l’occurrence, l’autorisation d’exploiter émise par le préfet l’avait été sur la base d’un rapport favorable rédigé par le conseil environnemental qui dépend directement de la Dreal (un service préfectoral), « de sorte que les deux documents sont signés “ M. le Préfet ” ». Pour lui, il est évident « que le processus est de fait entaché de suspicion, l’État ne peut pas être juge et partie ».
« Juge et juge ! » peste Me Versini-Campinchi qui estime que « c’est une surinterprétatation du droit dans laquelle il est dangereux de s’engouffrer », car de nombreuses autorisations dispensées par les préfectures de France pourraient s’en trouver contestées dans les prochaines semaines. La décision de la justice administrative sera rendue publique le 28 décembre.
NR du 26/12/2017

Lien avec l’arrêté n° 400559 du Conseil d’État

L’Ae et les MRAe : une communauté d’Autorités environnementales

L’Ae (ou « formation d’autorité environnementale du conseil général de l’environnement et du développement durable ») a été créée en 2009 pour pouvoir exprimer des avis indépendants, sur la façon dont tous les projets, impliquant le ministre chargé de l’environnement dans les différents champs de ses compétences, prennent en compte l’environnement. Objectif : éclairer le public, pour une démocratie environnementale apaisée.

De façon peu cohérente, en 2012, le complément de transposition en droit français de la directive « plans / programmes » n’avait pas respecté ce principe d’indépendance, à l’échelon régional. Grâce au décret du 28 avril 2016, ce n’est désormais plus le cas : les MRAe (missions régionales d’autorité environnementale du conseil général de l’environnement et du développement durable) sont créées depuis le 12 mai 2016 et ont, d’ores et déjà pris près de 1 100 décisions et rendus environ 350 avis.

L’indépendance ne peut pas complètement se décréter (ce peut être le cas lorsque l’on créée des autorités administratives indépendantes (AAI)), mais, dans tous les cas, elle se constate. L’Ae et les MRAe ne sont pas des AAI : elles doivent donc apporter la preuve de leur indépendance. Leur composition, avec respectivement un tiers ou une moitié de l’effectif d’experts indépendants, externes à l’administration, est une première réponse. Il importe également, qu’à chaque délibération et de façon constante dans leur action, elles élaborent chacun de leurs avis de façon objective et motivée, impartiale et collégiale, les publient sans délais et partagent leurs interprétations de façon transparente.

2018-09-09T12:34:49+01:00décembre 27th, 2017|Eolien|Commentaires fermés sur Argy-Sougé : le projet éolien menacé
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