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Municipales 2020 : dans six communes de l’Indre, il n’y pas assez de candidats

Pour les élections municipales des 15 et 23 mars prochain, six communes de l’Indre de moins de 1000 habitants, manquent de candidats par rapport au nombre de sièges à pourvoir. Mais contrairement au Cher, aucune commune n’est dépourvue de candidat.
Alors que le dépôt des candidatures pour les élections municipales est clos depuis ce jeudi soir, le préfet de l’Indre précise dans un communiqué qu’ “aucune commune n’est dépourvue de candidat”. En revanche, six d’entre elles ont un nombre de candidatures inférieur au nombre de sièges à pourvoir. C’est le cas de :

Murs, avec 9 candidats pour 11 sièges
Saint Christophe-en-Bazelle : 7 candidats pour 11 sièges
Saint Gilles : 10 candidats pour 11 sièges
Ingrandes : 2 candidats pour 11 sièges
Lourdoueix-Saint Michel : 1 candidat pour 11 siéges
Le Tranger : 1 candidat pour 11 sièges
Dans ces communes de moins de 1000 habitants, les élections seront toutefeois organisées normalement. Pour être élus au 1er tour de scutin, les candidats devront obtenir la majorité absolue des suffrages exprimés et un nombre de suffrages au moins égal au quart de celui des électeurs inscrits. La préfecture de l’Indre ajoute que des candidatures pourront être déposées en préfecture et sous-préfecture à l’issue du 1er tour. Si des conseils municipaux ne pouvaient pas fonctionner faute d’élus en nombre suffisant, le préfet mettrait en place une délégation spéciale qui sera chargée de gérer les affaires courantes et d’organiser de nouvelles élections municipales.

4853 candidatures dans l’Indre

Alors qu’il ya 3235 conseillers muncipaux a élire dans le département, la préfecture a reçu 4853 candidatures. Sur ces candidats, 2117 sont des femmes et 2736 des hommes. Le plus jeune candidat a 18 ans, le plus âgé, 95 ans. 1688, c’est le nombre de conseillers muncipaux sortants qui se représentent. Ils sont 162 maires sur 241 élus actuellement qui ont décidé de solliciter à nouveau les suffrages des électeurs.

Pour les communes de plus de 1000 habitants, 78 listes ont été déposées pour 41 communes ; 17 ne disposent que d’une seule liste.

By |février 28th, 2020|Categories: Elections|Commentaires fermés sur Municipales 2020 : dans six communes de l’Indre, il n’y pas assez de candidats

Le président du département de l’Indre demande un moratoire sur les projets éoliens

Serge Descout, président du Conseil départemental de l’Indre, a écrit un courrier au préfet pour lui demander un moratoire sur tous les projets de parcs éoliens dans le département. Une décision saluée par les associations qui s’opposent à l’implantation d’éoliennes.
C’est un élément qui peut être déterminant pour le futur des projets de parcs éoliens dans l’Indre. Le président du Conseil départemental de l’Indre a “saisi par courrier Monsieur le préfet en lui demandant un moratoire sur de nouvelles implantations de parcs éoliens sur le territoire du département de l’Indre”. Début janvier, Serge Descout avait été sollicité par plusieurs collectifs qui regroupent des associations. Dans cette lettre, ils indiquaient “l’incompatibilité entre les initiatives mises en place par le Conseil départemental pour augmenter l’attractivité du département et le développement à tout-va de l’éolien dans le département auquel on assiste actuellement”.

Joint par France Bleu Berry, Serge Descout estime qu’en matière de projets éoliens, l’Indre à largement rempli sa mission : “On ne vas en réinstaller 100 ou 150 supplémentaires, parce que là, ça finirait par vraiment polluer l’ensemble des paysages”. Et le président du Conseil Départemental d’ajouter : “Certains départements (de la région) en ont zéro : L’Indre-et-Loire n’en a pas et le Loir-et-Cher, n’en a pour ainsi dire, pas non plus. Alors, on me dit “en Indre-et Loire, nous avons des monuments historiques, de très beaux sites…” et bien je dis, dans l’Indre aussi nous avons de très beaux sites. Moi, je veux aussi préserver une qualité de vie, une qualité environnementale et j’ai pris mes responsabilités en disant à monsieur le préfet : stop, des éoliennes, y en a assez”

Les éoliennes, un frein à l’attractivité ?
Selon les dernières statistiques en ligne de la Direction départementale des Territoires, 109 éoliennes sont en service dans l’Indre. “L’éolien n’est pas la bonne réponse pour notre département et pour le Boischaut Sud. C’est un sujet clivant, qui oppose, qui divise dans les villages. Et je pense que l’on n’a pas besoin de ça dans nos territoires”, estime Jean Panel, président de l’association Pas de vent chez nous – Avenir Boischaut Sud.

Pour lui, il y a une incohérence entre la politique d’attractivité mise en place par le département et l’implantation d’éoliennes. “Vous ne pouvez pas mettre en avant le Parc Régional de la Brenne et en même temps lui mettre dedans des éoliennes. Les gens ne vont pas venir se promener pour se retrouver devant des monstres d’acier”, ajoute Jean Panel. “On se réjouit de la décision courageuse de Serge Descout, parce que politiquement, tout le monde a à la bouche l’éolien pour la transition énergétique”, conclut-il.

Christian Autissier est allé à la rencontre de plus de 500 habitants à Bazaiges et Vigoux, où un projet de parc éolien prévoit l’implantation de six éoliennes. “92% ont donné une réponse pour dire non à ces éoliennes. Il y a une quasi-unanimité contre ces projets”, explique-t-il. “J’ai une dame qui tient une agence immobilière. Sur la Haute-Vienne, il y a des maisons qui sont à 30 ou 40% moins chères à cause des éoliennes et elle peine à les louer. Donc, c’est un vrai problème”, estime-t-il.
France bleu

By |février 26th, 2020|Categories: Eolien|Commentaires fermés sur Le président du département de l’Indre demande un moratoire sur les projets éoliens

Fête du Retour de la Vapeur le samedi 3 et dimanche 4 août 2019

le week-end des 3 et 4 août, ne manquez pas la 3e édition de la fête “ Retour de la vapeur à Pellevoisin

Organisation tri-partite entre le Syndicat d’Initiative de Pellevoisin, la SABA et un groupe de bénévoles gérant une cinquantaine de tracteurs anciens mis à disposition par leurs propriétaires.
C’est le Syndicat d’Initiative qui est l’association support et coordinatrice de ce projet.

Animations de la journée :
Sur l’ensemble des deux journées autour de cette thématique (la vapeur au début du XXème siècle), seront proposés :
– L’exposition d’une centaine de tracteurs anciens avec la mise à l’honneur de la marque Massey Ferguson
– Un concours de labour avec certains de ces tracteurs
– Labour avec ânes et chevaux
– Une démonstration de battage à l’ancienne, faucheuse-lieuse, moulin à farine
– Une démonstration d’un alambic à vapeur
– Deux voitures à vapeur sur site
– Tracteur à vapeur sur site
– Voyages en train à vapeur ou en autorail au départ d’Ecueillé et/ou de Pellevoisin et en direction d’Argy
– Un mini marché de produits du terroir et d’artisanat
– Mini-ferme avec déambulation d’animaux (Moutons, oies, vaches, lapins, canards, …)
– Concassage de pierres & fendage de bois entraînés par tracteur à vapeur

Restauration sur place :
Le samedi soir, boeuf à la broche à volonté
Le dimanche midi , jambon à la broche à volonté

L’événement se déroule sur environ 25 hectares du lieu dit » LE RELAIS » au lieu dit « GRAND JUSCOP » ( D11, Route d’Argy ) entre les communes de Pellevoisin et d’Argy.

By |juillet 22nd, 2019|Categories: Non classé|Commentaires fermés sur Fête du Retour de la Vapeur le samedi 3 et dimanche 4 août 2019

De ferme en ferme 2019, les 27 et 28 avril 2019

Le CIVAM relaie localement en Boischaut Nord, l’opération nationale de promotion de l’Agriculture Durable portée par le Réseau CIVAM et organisée chaque année le dernier week-end d’avril.
Les fermes du territoire ouvrent leurs portes et font découvrir au grand public leur métier et quotidien!
Pour 2019, l’opération aura lieu le samedi 27 et dimanche 28 avril, notez la date dans vos agendas.

21 EARL du Petit Mée
Éliane et Alain Quaak
Le Petit Mée
36700 CLION-SUR-INDRE
rte D943 – 46.9551 1.2023
Tél. 0254386474 safran.du.petit.mee@hotmail.fr
Notre exploitation familiale en conversion bio produit des céréales, des volailles et du safran. Venez découvrir les différentes étapes de la culture du safran et ses mul- tiples usages !

22 SCEA des Iles
Annick et Jacky Béchereau
La Forêt
36320 VILLEDIEU-SUR-INDRE
rte D943 – 46.8596 1.5011
Tél. 0682391251 annickbechereau@hotmail.fr
Notre exploitation familiale produit des céréales, des légumes de plein champ bio et des plants de toutes les couleurs: tomates, courgettes, courges etc. Venez nous découvrir et en apprendre plus sur les légumes !

23 La Ferme du Relais Robin Doublier
Le Relais – 36180 PELLEVOISIN rte RD11 – 46.9697 1.4208
Tél. 0769199234 robin@lafermedurelais.fr
La Ferme du Relais abrite des cultures diversifiées, transformées sur place en farine et en huile. L’objectif est de continuer la diversification. La ferme est en conversion vers l’agriculture biologique.
L’association “Le Relais des Pas Sages”, à l’occasion de son ouverture de saison 2019, vous invite le samedi 27 à une journée agriculturelle festive consacrée au chant ! Au pro­gramme : balade commentée et chantée, chorale, atelier chant, concert, boeuf musical. Repas composé de produits locaux à prix libre et conscient, buvette !

24 Moulin de Naix
Gilles Pinon
Mouin de Naix
36180 PELLEVOISIN
rte D15D – 47.0058 1.4369
Tél. 0254390438 gillespinon@orange.fr
Au cœur de notre ferme familiale, venez découvrir notre ancien moulin à eau, notre élevage de vaches charolaises ainsi que nos céréales en agriculture biologique.

25 GAEC La Ferme du Plessis Doré
Marie-Thérèse Jambut et Didier Auger
7, rue du Plessis Doré
36210 POULAINES
rte D960 – 47.1560 1.6445
Tél. 0951505797 lafermeduplessisdore@free.fr
Élevage d’espèces et de races multiples : chèvres, chevreaux, porcs, vaches, et veaux de lait. Autonomie alimentaire et énergétique, en bio et conversion bio. RDV pour des moments d’échanges et de dégustation.

By |avril 16th, 2019|Categories: Actualités, Agriculture, Sortie|Commentaires fermés sur De ferme en ferme 2019, les 27 et 28 avril 2019

Avis favorable du commissaire enquêteur pour l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Le Commissaire- Enquêteur émet UN AVIS FAVORABLE, au projet de permis de construire déposé par la Sté SAS SERGIES POITIERS pour la réalisation d’une centrale photovoltaïque au sol d’une surface d’environ 2ha au lieu-dit « Les sables du Patureau » sur la Commune de Châtillon sur Indre.(enquête publique préalable à la délivrance d’un Permis de construire).
SOUS RESERVES QUE LA SAS SERG1ES respecte ses engagements concernant la protection de l’environnement et la sécurité sur le site pendant et après les travaux.

Les contributions du public :

> Contribution_A_de_Montigny – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 0,05 Mb

> Contribution_Mr_Pain_Jacques – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 0,47 Mb

> Contribution_SDEI – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 0,13 Mb

Le rapport du commissaire enquêteur :

> Rapport CE installation photovoltaïque – format : PDF sauvegarder le fichiersauvegarder le fichier – 9,84 Mb

By |mars 16th, 2019|Categories: Photovoltaïque|Commentaires fermés sur Avis favorable du commissaire enquêteur pour l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

ARRETE préfectoral N° 36-2018-11-28-003 du 28 novembre 2018 prescrivant l’ouverture de l’enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque au sol d’une surface d’environ 2 ha au lieu-dit « Les Sables du Patureau» sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Article 1″ : Il sera procédé du jeudi 3 janvier 2019 à 9 heures au lundi 4 février 2019 à 12 heures dans la commune de CHATILLON-SUR-INDRE à une enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque au sol d’une superficie d’environ 2 ha au lieu-dit « Les Sables du Patureau».
Article 2 : Monsieur Jean-Claude VACHER, commissaire enquêteur, siégera en mairie de CHATILLON¬SUR-INDRE
− Le jeudi 3 janvier 2019 de 9 heures à 12 heures, – Le mardi 15 janvier 2019 de 14 heures à 16 heures 45,
– Le vendredi 25 janvier 2019 de 14 heures à 16 heures 45,
– Le lundi 4 février 2019 de 9 heures à 12 heures.

> Arrêté_28_novembre_2018_ouverture_enquête_publique_CHATILLON – format : PDF  – 0,13 Mb

> Demande de permis de construire – format : PDF  – 1,71 Mb

> Avis_Autorite_Environ – format : PDF  – 0,03 Mb

> Resume_non_technique_EIE_Chatillon_072018 – format : PDF  – 4,11 Mb

> Etude-d’Impact_Chatillon – format : PDF  – 21,82 Mb

By |décembre 16th, 2018|Categories: Non classé, Photovoltaïque|Commentaires fermés sur Enquête publique préalable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque sur la commune de Châtillon-sur-Indre

Journée du patrimoine 2018 dans le Boischaut nord

Les 35e journées européennes du patrimoine auront lieu le samedi 15 et dimanche 16 septembre 2018.

Programme pour le Boischaut nord :

Argy : Château – tel : 02 54 84 21 55
Le château d’Argy semble s’être échappé du Val de Loire ! Il est tout en contrastes, comme un témoin du temps qui passe. Le château Renaissance et l’imposant donjon du XVe-VIe siècle mène à une galerie Renaissance toute en finesse et en légèreté avec étage richement décoré. Le corps du logis qui s’étend à l’est entre deux tours rondes plus petites ne date que du XIXe siècle. Les communs datant du XVIIe siècle, l’ancienne grange à porteau abrite le Columbarium des Archives Nationales. Parc de 36 ha.
Visite libre, sous réserve.

Azay-le-Ferron : Château et musée
Dix-huit pièces entièrement meublées évoquent la vie dans une confortable demeure de chasse : mobilier empire, restauration, Louis XV et Louis XVI. Importants tableaux et objets d’art jalonnent le parcours de visite.Visite libre du parc
Visite commentée
Visite guidée du château et parc libre. Le château d’Azay-le-Ferron, d’une riche architecture du XVe au XVIIIe siècle, est une véritable machine à voyager dans le temps qui nous transportera à travers les styles et les époques artistiques. Vous parcourrez les nombreux salons, chambres, salle à manger, cuisine, bibliothèque… Soit environ 15 pièces somptueusement meublées.
samedi 17 septembre – 10h00 à 18h00
dimanche 18 septembre – 10h00 à 18h00
Tarifs : Adultes 4 €, enfants (6 à 18 ans) 2 € et parc gratuit.
Bouges le château : Château – 15 rue du Château – 02 54 35 88 2
chateau.bouges@monuments-nationaux.fr – lisztomanias.de.chateauroux@gmail.com
Construction à l’italienne, le château de Bouges fut bâti sous le règne de Louis XV. Les communs et le jardin à la française sont entourés d’un magnifique parc de 80 hectares. Importantes collections de meubles et objets d’art.
Visite libre des extérieurs et de son parc de 80 hectares
Visite libre

Châtillon : Centre François-Garnier – 10 Place du Marché – 02 54 38 74 57 – contact@rencontre-patrimoine-religieux.com
Le Centre François-Garnier est installé dans le site historique du château royal de Châtillon-sur-Indre. Ses locaux occupent plus particulièrement l’ancienne chapelle gothique du château, dont subsistent de nombreux vestiges.
Créé en 2004 par l’Association Rencontre avec le Patrimoine religieux, il développe diverses activités de recherche, d’étude et de valorisation du patrimoine religieux dont la région Centre est particulièrement riche, et met à la disposition des étudiants et des chercheurs un centre de documentation spécialisé dans ce domaine.
Visite commentée
Le Centre François-Garnier recueille une documentation et met en place des actions permettant de mieux connaître le patrimoine religieux. Il occupe la chapelle du château de Châtillon-sur-Indre.
samedi 15 septembre – 09h00 à 12h00 – 14h00 à 17h30
Ensemble castral – Place du Vieux Château – 02 54 38 74 19
Bâtiment dit des prisons, centre François-Garnier, château et donjon, collégiale Saint-Outrille.
Ensemble castral comprenant donjon et courtines du XIIe siècle, logis seigneurial, chapelle et communs du XIIIe siècle Collégiale romane du XIIe siècle.
Le siècle qui vient de s’écouler est insuffisant pour couvrir la protection du patrimoine châtillonnais qui a débuté au milieu de XIXe siècle par le classement M.H. de la collégiale Saint-Austregisile (liste de 1862). Les journées de septembre seront consacrées à la maîtrise foncière communale de l’ensemble castral, aux protections et aux restaurations qui en ont découlé. Totalement démembré entre 1798 et 1809. Le remarquable ensemble castral de Châtillon sur Indre a été remembré à compter du legs du donjon en 1870. Depuis cette première étape, la quasi totalité des municipalités qui se sont succédées ont poursuivi les acquisitions, avec des motivations ou des objectifs divers. Ce travail de longue haleine s’est achevé en 2012 par l’acquisition d’un îlot privé englobant la tour du “Paradis à Cognet”, vestige de la forteresse Plantagenet édifiée dans le troisième quart du XIIe siècle.

Collégiale Saint-Outrille
L’actuelle église paroissiale Notre-Dame de Châtillon-sur-Indre fut, jusqu’au XVIIIe une collégiale, servie par un chapitre de chanoines séculiers et dédiée à saint Austregisile, archevêque de Bourges au VIIe. La construction aurait commencée dans le dernier quart du XIe et se serait poursuivie pendant la première moitié du XIIe. De l’abside jusqu’à la façade occidentale le visiteur suivra l’évolution de la construction de ce remarquable édifice qui s’étend des débuts de l’art roman jusqu’à l’efflorescence du gothique.Venez découvrir son porche sculpté, ses chapiteaux, les vigoureux piliers romans qui soutiennent la voûte en berceau brisé ainsi que l’étonnante hauteur de la nerf (près de 20 m)

Clion : Château de l’Isle Savary – 02 54 38 61 70
Sans doute le dernier château fort construit en France (en 1460) avec ses douves, ses pont-levis, son chemin de ronde, ses échauguettes etc…, ce magnifique monument historique classé est en même temps le précurseur des châteaux Renaissance dont il présente, avant l’heure, les caractéristiques d’équilibre, d’esthétique et de magnificence qui font leur réputation mondiale. Possédé pendant plus de vingt ans par M. de Frontenac qui gouverne le Québec, l’Acadie et Terre Neuve, puis un siècle plus tard par le Comte de Jouffroy qui rénova notamment l’ensemble du rez-de-chaussée pour y faire de magnifiques pièces Empire, ce château a ensuite été abandonné pendant plus de 100 ans.

Écueillé : Eglise Notre Dame – Rue de la Vieille-Église – 02 54 40 21 10 – mairie.ecueille@wanadoo.fr
A quelques mètres d’un ruisseau appelé la Tourmente, l’église se trouve en fond de vallon. Cette implantation n’empêche pas les promeneurs et automobilistes de l’observer d’assez loin, en raison de son clocher massif couronné d’une flèche en pierre. Un plan d’eau se trouve derrière l’église.
Visite libre
Samedi-dimanche : 14h-18h.
Dimanche : 15h.

Le train du Bas-Berry – S.A.B.A. – Gare d’Écueillé, 96 bis avenue de la Gare – 02 54 40 23 22 – traindubasberry@laposte.fr
Voie ferrée métrique (27 km) entre Argy et Luçay-le-Mâle, ancienne ligne du Blanc-Argent, avec mise en valeur par un train touristique. Gare, atelier d’entretien et installations ferroviaires représentatifs des anciens chemins de fer départementaux.
Visite commentée :
Découverte commentée du site de la gare d’Écueillé. Histoire de l’ancienne ligne de chemin de fer du Blanc à Argent. Découverte des bâtiments, des installations techniques et du matériel roulant historique sauvegardé.
Samedi : 13h-18h. Dimanche : 10h-19h.
Exposition :
Photos, maquettes et matériel :
Samedi : 14h-18h. Dimanche : 10h-12h30 et 14h-18h30.
Circuit : voyage en autorail ou train à vapeur. Exposition et visites libres ou guidées durant le voyage..oyage en autorail : départs à 13h45 et 16h55, pour aller/ retour Ecueillé/Luçay-le-Mâle. Voyage en train tracté par la locomotive à vapeur : départ 15h00, pour aller/retour Ecueillé / Heugnes
samedi 15 septembre – 13h30 à 18h30
dimanche 16 septembre – 13h30 à 18h30
Renseignements sur le site du Train du Bas-Berry : www.traintouristiquedubasberry.com
Tarifs des voyages : autorail 7 €€/adulte et 5 €€/enfant de 4 à 12 ans ; train à vapeur 12 €€/adulte et 7 €€/enfant de 4 à 12 ans ; gratuit moins de 4 ans .

Éguzon :  Musée

Faverolles: Église Notre-Dame – 2 rue de la Mairie – 02 54 40 42 11
Église de style roman construite aux XIe et XIIe siècles. Remaniée à l’époque gothique, elle présente des travées de voûtes d’ogives flamboyantes dans la nef et des chapiteaux à feuillage. Dans la commune à voir, statue de Benjamin Rabier, célèbre dessinateur humoristique animalier qui repose dans le cimetière communal.
Visite libre
Samedi-dimanche : 9h-18h.

Frédille : Ancienne abbaye du Landais
Site d’une abbaye cistercienne en partie disparue. Chapelles des transepts, sacristie, chambre de l’abbé, partie mur goutterot Sud de l’abbatiale, aile des convers (XIIe-XVIIe siècles), fontaine du cloître, ouche, vivier.
L’église abbatiale était d’un taille assez conséquente : cinquante-six mètres de longueur et 18,5 mètres de largeur. La nef était voûtée en croisée d’ogives et haute de dix-sept mètres. Le plan, cistercien traditionnel, reprenait le classique chevet plat avec deux chapelles de chaque côté du chœur.
Les murs étaient peints ; il en reste une fresque de la vierge à l’enfant dans la chapelle sud, ainsi qu’une autre représentant probablement Saint Bernard.
A voir de l’extérieur.

Levroux : Maison de bois
Maison à pan de bois de la fin du XVe siècle. Encorbellement à l’étage. Décoration et personnages sont de style gothique. Elle servait d’auberge pour les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle. Elle abrite aujourd’hui l’Office de tourisme et des expositions.

Luçay-le-Mâle :  Musée de la Pierre à fusil.
Église Saint-Maurice
L’église réaménagée au XIVe siècle avec construction du clocher. La chapelle nord reçoit les sépultures des Seigneurs de Rochefort.
Sur face sud : caquetoire “les aîtres” où se discutaient les affaires civiles et religieuses de la ville. A l’extérieur, “Pierre des morts”,
grand socle du XVIIIe siècle, avec autour un cimetière mérovingien. Façade du grand portail porte une statue de cavalier.
Visite libre
Samedi-dimanche : 9h-18h.
Musée de la Pierre à Fusil
4 rue Roger Ménars – 02 54 40 51 11 – 02 54 40 43 31
Le musée retrace l’épopée du petit éclat de silex qui permettait de produire l’étincelle qui, mettant le feu à la poudre, provoquait la propulsion du projectile. Etonnante reconstitution d’un “crot” c’est-à-dire d’un puits d’extraction de rognons de silex. Découverte des 3 aspects de l’histoire économique de Luçay : les forges et la fonderie, les champignonnières et les carrières de calcaire.
Visite libre ou commentée
Samedi-dimanche : 14h-18h.
Tarif spécial : 2 €.

Lye :  Église Notre-Dame, ferme de Saray.
Église Notre-Dame
Église romane avec fresques du XIIe au XVIe siècle. Édifice construit au XIIe siècle, modifié et agrandi vers 1500 : voûtement sur croisée d’ogives de la nef, construction de la chapelle sud (avant 1507) et percement de deux grandes arcades dans le mur sud
du choeur, construction d’arcs-boutants et de contreforts supplémentaires contrebutant les murs de la nef.
Visite libre
Samedi-dimanche : 10h-12h30 et 14h-18h.
Ferme de Saray
Ensemble fermier complet avec une tour-chapelle, pigeonnier à double échelle tournante, four à pain et autres dépendances, sur une cour fermée caractéristique de la région nord-ouest du Berry. Les différents bâtiments datent du XIIIe au XIXe siècles.

Mézière en Brenne : Collégiale Sainte-Marie-Madeleine:
Premier monument historique classé dans l’Indre, la collégiale, l’église Sainte-Marie-Madeleine, comporte un portail orné d’un riche tympan ouvrant sur une façade peu commune, des vitraux restaurés des XIV et XVIe siècles, une chapelle Renaissance, des stalles bénédictines, des poutres peintes aux armes des anciens seigneurs ainsi que des chapelles latérales des ducs d’Anjou.
Le Samedi 15 Septembre 2018 de 08h30 à 12h00
Le dimanche 16 Septembre 2018 de 08h30 à 12h00
Maison de la pisciculture et musée d’histoire:
Depuis le Moyen Âge, les hommes de Brenne créent et utilisent les étangs. Ils ont, au cours des temps, développé les techniques de maîtrise de l’eau et celles de la sélection du poisson. La Maison de la Pisciculture invite le visiteur à regarder évoluer carpes, brochets et gardons, à s’initier au principe de vidange des étangs et à découvrir l’art de l’élevage du poisson. Maquette et films vidéo complètent la visite. Dans l’une des tours restaurées de l’ancien château, petit musée d’histoire locale.
samedi 15:00-18:00. Payant, sans inscription 2€50 par personne

Moulins-sur-Céphons
Le village de Moulins-sur-Céphons est un ancien bourg castral qui conserve la motte de son premier château érigée au XIe siècle et occupée jusqu’à la guerre de Cent Ans (classée au titre des monuments historiques en 1978), l’église paroissiale formée de deux nefs accolées des XIe et XIIIe siècles (inscrite au titre des monuments historiques en 1927), la tour du châtelet d’entrée du bourg du XIVe siècle, et deux résidences seigneuriales du début et du milieu du XVe siècle.
Cette “Maison de bois” est une résidence seigneuriale du début du XVe siècle. Elle a été remaniée et transformée au cours de ce siècle en maison bourgeoise, puis en médiathèque. Elle a été restaurée dernièrement.
Dans la plus ancienne de ces résidences, visite de l’exposition permanente “Seigneurs, artisans, paysans: archéologie d’un village médiéval” qui présente les résultats des fouilles et des recherches historiques menées sur le village (un plan du bourg et de ses vestiges médiévaux y est disponible).
Samedi / dimanche. Gratuit, sans inscription

Palluau : Église Saint-Sulpice – Collègiale Sainte-Menehoulde
Située au pied du château, l’église collégiale du XIIème, anciennement église Sainte Menehould, est devenue Saint-Sulpice après le Concordat de 1801. C’est un édifice cruciforme, avec un choeur à pans coupés, présentant dans ses différentes parties des exemples des formes successives de l’art gothique local. Elle est ornée de nombreux vitraux, de stalles du XVème siècle, de statues polychromes du Moyen Âge et de l’époque moderne et de magnifiques boiseries. La chapelle seigneuriale, au nord, a été édifiée en 1502 par Charles de Tranchelion. Les statues disposées autour du choeur sont pittoresques (ici Saint Jacques, statue polychrome du Xvème siècle, classée monument historique en 1908).
Sa chapelle Marie-Madeleine est classée monument historique.
Visite libre
Samedi-dimanche : 8h-19h.

Prieuré Saint-Laurent
Ancienne église St-Laurent. Eglise romane du XIIe siècle en partie transformée en habitations. Remarquable fresques romanes, notamment la Vierge et l’Enfant. Martyre de St-Laurent sur le gril, datant du XVe siècle.
Visite libre
Samedi-dimanche : 10h-18h.
Château de Palluau Frontenac
Ouverture le samedi 17 et dimanche 18 septembre, de 14 à 17 h ;
visite guidée des salons et accès au parc. Gratuit pour les moins de 4 ans, 2 € pour les enfants de 4 à 6 ans, 5 € pour les 5 à 17 ans, 6,50 € pour les adultes.
Pommiers : Château du Châtelier
Deux corps de bâtiments des XVe et XVIIe siècles séparés par une cour pavée, entourés de douves. Visite libre des extérieurs
Dimanche : 10h-12h-14h-17h

Poulaines :
Jardins et Arboretum :
Cette année, la moitié des bénéfices des entrées du week-end sera reversée à l’association « Jardins et santé ». Sa vocation est de concevoir et aménager des jardins dans les lieux de soins pour les personnes atteintes de maladies cérébrales.
Samedi et dimanche, à 15H, Valérie Esnault, propriétaire du domaine propose une visite guidée des jardins. Découvrez les essences plantées, leur organisation, leur entretien, les univers créés avec ravissement. L’équipe de l’EPHAD Les Rousselières sera présente pendant ces deux jours afin d’expliquer leur projet de jardin à vocation thérapeutique.
Venez soutenir cette louable initiative verte lors d’une journée bucolique et instructive au domaine de Poulaines.
samedi 15: 13h00 à 15h00, 15h00 à 16h00, 16h00 à 18h00, dimanche 16: 13h00 à 15h00, 15h00 à 16h00, 16h00 à 18h00
Église Saint-Saturnin
Église construite au XIIe siècle. Le clocher-porche fut certainement construit dans le 1er quart du XIIIe siècle. Cette église est constituée d’une nef de trois travées et d’un choeur de deux travées. La construction du choeur, dans le prolongement de l’ancien, a pu intervenir vers 1500, au moment où s’élevait, pour le seigneur de Tessonnières, la chapelle de Sainte-Marguerite, adossée au mur gouttereau nord de l’édifice. A partir de 1868, l’architecte départemental Alfred Dauvergne construisit les deux travées de la chapelle de la Vierge. L’intérêt majeur de cette église rurale réside dans son décor sculpté et peint. Les huit colonnes engagées de la nef romane portent des chapiteaux ornés de rubans croisés ou de feuilles d’eau d’où peuvent émerger des têtes humaines. La voûte d’ogives, à huit quartiers rayonnants, de la chapelle Sainte-Marguerite repose sur des culots sculptés et peints, représentants
des têtes humaines, contemporains de la décoration picturale réalisée à la détrempe dans le dernier quart du XVe siècle. Une Annonciation et les figures en pied des apôtres, groupées par deux, occupent les huit voûtains. Les couleurs employées sont
l’ocre-jaune, le brun rouge, un ton plus foncé pour les faux-joints et un bleu pour le fond des figures.
Visite de 14h00 à 18h00

Rosnay :  Château du Bouchet – 11 Le Bouchet en Brenne – 06 72 01 62 15
Le château du Bouchet en Brenne qui a conservé son aspect de forteresse médiévale, malgré d’importantes transformations réalisées au XVIIe siècle, se dresse sur la plus haute butte de la Brenne dominant le grand étang de la Mer Rouge. Le panorama offert de la terrasse ou du donjon s’étend jusqu’à 80 kms à la ronde. La partie la plus ancienne du château la tour nord date du XIIe siècle.
Le grand donjon dont subsistent encore les traces du pont-levis, date du XIVe siècle tandis que le petit donjon a été construit par les Anglais au XVe siècle durant la Guerre de Cent ans. Après avoir été occupé par différentes familles locales, le château a été acquis par la famille Rochechouart de Mortemart au XVIe siècle qui a effectué des transformations de la forteresse en demeure de villégiature au XVIIe siècle. L’un des propriétaires, Gabriel de Rochechouart, était le père de la célèbre marquise de Montespan qui aurait fait quelques séjours au Bouchet. En 1808, Victor Hérault de La Véronne acquiert le château qui continue d’appartenir à ses descendants.
Visite libre
Samedi : 10h-12h et 14h-18h. Dimanche : 14h-18h.
Les Étangs Foucault – 02 54 37 05 13 – 02 54 37 25 20 – ecomusee.brenne@wanadoo.fr
Ce site de 110 ha appartient au Parc naturel de la Brenne. Aujourd’hui espace protégé, il comprend quatre étangs, des prairies gérées de manière extensive par pâturage de bovins et quelques buttons. Son paysage est emblématique de la Brenne et permet
de retracer son histoire.
Parcours commenté
Histoire des paysages de la Brenne par Renaud Benarrous, archéologue au Parc naturel régional de la Brenne, vous entraînera dans les prairies et landes du site protégé des étangs Foucault, à Rosnay, sur les buttons et les chaussées d’étangs. Il vous aidera à
trouver les multiples indices permettant de comprendre l’histoire des lieux et vous pourrez, avec lui, découvrir les réponses aux “vieilles” interrogations : De quand datent les étangs ? Pourquoi ont-il été créés ? et par qui ? les légendaires moines brennous
ont-ils vraiment assaini un marécage hostile et inhabité ? Rien n’est moins sûr au vu des dernières découvertes… Rendez-vous sur le parking des étangs Foucault ; durée de la visite : 2h. Nombre de personnes limité à 12. Déplacements : à pied. Prévoir
chaussures de marche et vêtements adaptés à la météo. Réservation obligatoire.
Dimanche : 09h30.

Saint-Genou : Église abbatiale Sainte-Marie – Place de l’Église – 02 54 38 45 95
Église abbatiale romane du XIIe siècle dont subsistent l’abside, le choeur des moines et le transept, ornés de chapiteaux.Malgré la destruction de sa nef au XVIIe siècle, l’église de Saint-Genou reste l’un des plus purs monuments de l’architecture romane en Berry.
Elle se compose d’un transept, partiellement conservé, élevé sur le modèle de celui de Saint-Martin de Tours, d’un chœur droit pourvu d’une splendide colonnade, ornée de chapiteaux pour certains historiés, terminé par une abside circulaire abritant, sous l’autel moderne, le tombeau de saint Genou, dont la dalle funéraire a été conservée avec son inscription dédicatoire.
Visite libre
Samedi-dimanche : 9h-19h.
Lanterne des morts – Rue d’Éstrée – 02 54 38 45 95
Située sur le site de l’ancien cimetière paroissial d’estrée, la lanterne des morts était allumée la nuit en signe de communion avec les défunts. La date de sa fondation est incertaine, elle peut remonter au XIVe siècle.
Visite libre

Saint-Lactencin : Manoir des Fauves
Demeure de Sarah Caryth-Rancy entre 1928 et 1941. Danseuse hindoue, charmeuse de serpents puis dompteuse de lions, la Dame du cirque est célèbre en Europe pour son domptage en pelotage et pour la pose de dents en or à son lion Prince en 1933.

Valençay : Musée de l’automobile, parc et Château, rendez-vous de chasse de La Garenne
Le Musée de l’Automobile de Valencay présente une soixantaine de véhicules, de 1898 à 1971, en état de fonctionnement, ainsi qu’une importante collection d’enseignes de garage, de pièces détachées et d’affiches d’époque.
Château Renaissance avec un magnifique donjon. Imposante aile ouest de style classique. Pièces meublées, jardins à la Française et parc à l’Anglaise. Ancienne demeure du Prince de Talleyrand, ministre des Affaires Étrangères de Napoléon.

Veuil : Église Saint-Pierre
La Transaction passée en 1162 entre les moines de Villeloin et l’archevêque de Bourges nous révèle que la paroisse de Veuil existait déjà dans la seconde moitié du XIIe siècle. L’église fut transformée et agrandie au XVIe siècle.

Vicq-sur-Nahon : Château de La Moustière

Villegouin : Le Moulin Neuf
Moulin à eau avec coursier, le long d’un ruisseau, avec son canal de retenue d’eau, son coursier et sa roue à aube. A regarder en se promenant sur le chemin communal. Gratuit samedi et dimanche

By |septembre 12th, 2018|Categories: Histoire, Tourisme|Commentaires fermés sur Journée du patrimoine 2018 dans le Boischaut nord

De ferme en ferme le 28 et 29 avril 2018

Promouvoir l’agriculture durable et la diversité des fermes sur le territoire, tel est l’objectif de l’opération “De Ferme en Ferme” organisée par la Fédération des CIVAM (Centres d’Initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural) et ses nombreux partenaires l’ADAR CIVAM, le Parc Naturel Régional de la Brenne et le CIVAM de Valencay, avec le soutien du Département.
Elle se déroule sous forme de portes ouvertes dans 24 fermes de l’Indre les 28 et 29 avril prochains.

L’occasion pour le grand public – et les familles en particulier – de visiter, découvrir et déguster les produits de nos agriculteurs. Un moment privilégié de rencontre entre producteur et consommateur sur le lieu même de production, pour voir, comprendre les modes de productions agricoles et rencontrer ceux qui font de la terre une passion. De la cueillette du safran à la fabrication de glace ou de fromage de chèvre, de la culture responsable de céréales, champignons et légumes, à l’élevage de chevaux, découvrez l’originalité et la diversité des fermes qui nous entourent !

De nombreuses animations seront ainsi proposées aux visiteurs en complément des visites commentées : atelier autour de la laine, balades en calèche ou à dos de poney, jeux géants et chasse au trésor. Le samedi, des apéros concerts viendront clôturer la journée en toute convivialité.

Carte de ferme en ferme sur le Boischaut nord

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By |mai 16th, 2018|Categories: Agriculture, Non classé, Tourisme|Commentaires fermés sur De ferme en ferme le 28 et 29 avril 2018

Bénéficiaires des aides de la politique agricole commune

En application du règlement européen (UE) n° 1306/2013 du Parlement européen et du Conseil, daté du 17 décembre 2013, chaque Etat membre est tenu de publier un certain nombre d’informations relatives aux bénéficiaires des aides de la politique agricole commune (PAC), qu’elles relèvent du fonds européen agricole de garantie (FEAGA) ou du fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER).

Les informations qui peuvent être consultées sont les suivantes
la dénomination du bénéficiaire,
la commune d’enregistrement et le code postal,
les montants des paiements (en euros) correspondant à chaque mesure financée par le FEAGA ou par le FEADER,
le type et la description des mesures concernées par les paiements précités,
et la somme des montants (en euros) perçus par le bénéficiaire au cours de l’exercice financier concerné.

Lien Telepac

https://www1.telepac.agriculture.gouv.fr/telepac/tbp/accueil/accueil.action

By |mai 3rd, 2018|Categories: Agriculture|Commentaires fermés sur Bénéficiaires des aides de la politique agricole commune

Les oiseaux français décimés par l’agriculture

Dans les campagnes françaises, les oiseaux déclinent «à une vitesse vertigineuse», avec une perte d’un tiers d’individus en 15 ans, constatent mardi 20 mars le MNHN et le CNRS. La faute de pratiques agricoles irrespectueuses de l’environnement, en particulier des pesticides, qui minent les chaînes alimentaires.

Menée via le programme de sciences participatives Stoc (Suivi temporaire des oiseaux communs), animé par le Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), la première étude révèle que la France a vu une fonte de 33% des effectifs d’oiseaux vivant en zone agricole depuis 2001, au niveau national.

LES PERDRIX EN CHUTE DE 80%
L’autre série de résultats, menée sur la Zone atelier «Plaine et Val de Sèvre» du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), confirme ces résultats au niveau local: menée sur 160 points d’écoute suivis depuis 1995 par des chercheurs du Centre d’études biologiques de Chizé (Deux-Sèvres), elle révèle un déclin de 35% pour l’alouette, et de 80% pour la perdrix.
Ces résultats viennent confirmer les résultats d’une étude britannique publiée en novembre 2014, qui estimait à 421 millions le nombre d’oiseaux disparus en Europe depuis 1980, en particulier des espèces aussi communes que le moineau domestique, l’étourneau sansonnet, la perdrix grise et l’alouette.

LA BIODIVERSITÉ COMMUNE EN CRISE
«Cette tendance touche toutes les espèces inféodées au milieu agricole: la biodiversité commune connaît un très fort déclin. Cela aurait été impensable il y a une vingtaine d’années, et pourtant ces espèces souffrent aussi des pratiques de l’homme sur l’environnement, notamment de l’agriculture», explique au JDLE Benoît Fontaine, coordinateur du programme Stoc et chercheur au Centre des sciences de la conservation (Cesco, MNHN/CNRS/université Pierre-et-Marie-Curie).
Comment expliquer un déclin aussi rapide? Pour les chercheurs, c’est l’intensification agricole, particulièrement marquée ces 25 dernières années, qui est responsable de cette catastrophe. Avec deux grandes causes: les changements d’usage des sols, dont les grandes monocultures qui entraînent la disparition d’habitats pour les espèces, et les pesticides.

PESTICIDES: EFFETS DIRECTS ET INDIRECTS
La nocivité de ces derniers est en partie directe, par imprégnation des oiseaux, selon un phénomène de bioaccumulation du fait de leur position en haut de chaîne alimentaire. Contactée par le JDLE, Sabrina Gaba, de l’unité Agripop (CNRS/Inra) au Centre d’études biologiques de Chizé, évoque ainsi des travaux montrant un effet d’une imprégnation par les néonicotinoïdes sur la survie des perdrix.
Mais l’effet serait surtout indirect: «on parle beaucoup des néonicotinoïdes, du fait de leur impact sur les pollinisateurs, mais toutes les substances qui visent les plantes [adventices], les champignons et les insectes assèchent une source de nourriture pour d’autres espèces. C’est tout un maillon de la chaîne alimentaire qui disparaît», explique Benoît Fontaine.

UNE ALIMENTATION QUI SE RARÉFIE
A l’automne 2017, une étude allemande révélait ainsi la disparition de trois quarts des effectifs d’insectes depuis le début des années 1990. Selon des données non publiées, obtenues dans la Zone atelier «Plaine et Val de Sèvre», la tendance serait similaire en France, avec une baisse de 80% des effectifs d’insectes depuis le début des années 1990.
En matière de phytosanitaires, «on arrive au bout du système. Il faut complètement renverser notre manière de voir les choses, envisager l’agriculture d’une toute autre façon. Il n’est pas trop tard: il y a une prise de conscience indéniable de la société. C’est ce que montre l’essor du bio: cette préoccupation pour la santé est aussi bénéfique pour les oiseaux et les insectes», juge Benoît Fontaine.
LA NÉCESSITÉ D’UNE RÉVOLUTION AGRICOLE

Face à la rapidité du déclin de la biodiversité, le nécessaire aggiornamento agricole surviendra-t-il à temps? «On peut être optimiste, et espérer un changement drastique, mais il faut constater que les mesures prises ces dernières années, en faveur de l’agro-écologie ou avec les plans Ecophyto [qui visent une réduction de l’usage des pesticides, ndlr], ont eu peu d’impact sur les pratiques», note Sabrina Gaba.
Pour Benoît Fontaine, «la situation est dramatique, mais on peut vraiment faire quelque chose. Pour cela, il faut redresser la barre à tous les niveaux, que ce soit au niveau des citoyens et des consommateurs, des autorités et des agriculteurs», «pris dans un système qui leur échappe en grande partie et dont beaucoup ne demandent rien d’autre qu’un changemen

By |mars 20th, 2018|Categories: Biodiversité, Environnement|Commentaires fermés sur Les oiseaux français décimés par l’agriculture
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